dimanche 27 mai 2012

Bouquets à Chenonceau

 

 Le château de Chenonceau est encore davantage mis en valeur par une multitude de bouquets de fleurs, disposés un peu partout dans les différentes pièces.



Chenonceau, le château de Diane ou de Catherine ?

Tous les visiteurs connaissent le château de Chenonceau, cadeau d’amour d’Henri II à la belle Diane de Poitiers que la méchante Catherine de Médicis, la femme du roi, reprendra sans gêne à la mort de ce dernier, jalouse de cet étalage de faveur. Et Chenonceau restera à jamais le plus romantique des châteaux de la Loire (bien qu’il soit situé sur le Cher) lié au souvenir de Diane. Pourtant…







Pourtant, Diane n’a rien fait – ou presque – pour donner à Chenonceau son allure actuelle et encore, de manière bien involontaire.  Lorsqu’Henri II lui offre le château, seul le bâtiment en bord du Cher existe, celui par où entre le visiteur. Diane ajoutera un simple pont entre le bâtiment et la rive gauche car elle souhaitait créer des jardins de l’autre côté du Cher et en faciliter ainsi l’accès. 



C’est dans cet état que Catherine de Médicis récupère Chenonceau en 1559. C’est elle qui ajoutera les deux magnifiques  galeries couvertes superposées  si célèbres et qui donne à Chenonceau cet aspect si particulier, qui fait de lui un château à part, un château qui marche sur l’eau. C’est donc bien au personnage qui a le mauvais rôle dans cette triangulaire amoureuse que l’on doit l’architecture finale du château, associé pour l’éternité à Diane de Poitiers.


On pouvait atteindre les cuisines par le Cher



















Savez-vous que durant la Seconde Guerre Mondiale, le château de Chenonceau était une véritable épine dans le pied de l’Occupant ? En effet, la ligne de démarcation passait…au milieu du Cher. Ce faisant, Chenonceau se trouvait à cheval, un pied en zone libre, un pied en zone occupé. Et il permit à de nombreuses personnes de passer de l’une à l’autre à la barbe des Allemands !

JRR




mercredi 23 mai 2012

L'abbaye de Fontevraud

Si l’abbaye de Fontevraud est le plus vaste ensemble monastique d’Europe, son ouverture au public est récente, sa restauration s’étant terminée en 2001…

Fondée à l’aube du 12e siècle, elle avait pour particularité d’être mixte et dirigée par une femme. Une grande partie de ses abbesses furent de sang royal.




Dans l’église reposent les gisants des Plantagenêts, dont Henri II Plantagenêt, son épouse Aliénor d’Aquitaine et leur fils Richard cœur de Lion.



Le bâtiment le plus curieux reste la cuisine romane, comprenant de nombreux foyers autour de la cuisine, ce qui explique sa forme particulière.

En 1804, Napoléon transforma l’abbaye en pénitencier. Puis elle devint prison centrale, considérée comme une des plus dure, jusqu’en 1963.
Dans son livre « Miracle de la rose », l’écrivain Jean Genet décrit ce que fut la vie des prisonniers. Ses écrits serviront de fil conducteur à une partie de la visite....


Aujourd'hui c'est un vaste ensemble chargé d'histoire mais aussi un lieu de promenade entre expositions, jardins et terrasse où, un verre à la main, on peut admirer le lieu tout en profitant du soleil.



lundi 21 mai 2012

Ambiance à Reims

Photo réalisée en mai lors de la visite de la Cathédrale de Reims.

La statue de la Vierge illuminée par les bougies imprégnait la cathédrale de sa présence malgré le va et vient des touristes....

dimanche 20 mai 2012

Promenade en Haute-Loire (Auvergne)...

Quelques lieux reposants en Haute-Loire (Auvergne) au gré de ces photos :

La cascade de la Baume, entre Brignon et Solignac-sur-Loire.
Elle est tout d'abord visible d'un point de vue en hauteur sur la route.


Plus loin, un parking. Un panneau vous propose de choisir entre la poubelle et la cascade. Je vous conseille la cascade ^^
20 minutes de marche nous permettent de nous enfoncer dans la forêt et de profiter de son calme. Déjà de belles photos à prendre, et beaucoup d'eau.














Puis, la récompense. Ce bel endroit, sans touristes. Seulement le bruit de l'eau....

Nous repartons trempés par la bruine sous le soleil




Le lac du Bouchet, près du Bouchet-Saint-Nicolas, est un lac d'origine volcanique. L'histoire de la région est inscrite dans ce cratère. Mais c'est aussi un lieu de promenade très agréable.




Prochainement, destination le Puy en Velay et la statue de la vierge, Notre-Dame-de-France  réalisée grâce aux canons pris aux russes en 1855...



mercredi 16 mai 2012

Mon rose à joues

Depuis des années, j'adore le parfum de Lolita Lempicka mais aussi son univers. Mais je ne suis pas toujours assez assidue (ou on ne les trouvait pas en Belgique) pour ne rien rater de leurs éditions limitées.
Il y a peu j'ai eu la chance de découvrir et, heureusement, pouvoir acheter son fard à joue.
Un écrin magnifique, agréable à prendre en main, cloisonné de blanc et de feuilles de lierre dorées, apparemment encore disponible ici (n'hésitez pas à demander une boite cadeau, elle sont superbes). Cette poudre à une particularité : elle n'est pas tout de suite visible à l'application (n'en mettez pas trop!) mais fait naitre un rose très doux sur les joues.

photo Lolita Lempicka

Le château de Brézé

Une très belle surprise nous attendait en choisissant de visiter le château de Brézé… Croyant n'en visiter qu’un de plus, proche de notre gite et ouvert à cette période de l'année (mars), j’ai été impressionnée par sa partie troglodyte : un véritable château sous le château.

Les douves sèches (elles n’ont jamais contenu d’eau) sont les plus profondes d’Europe. Et sous le château de surface on trouve souterrains et habitations creusés dans le tuffeau.



Dragées de Verdun


Spécialité de Verdun, les dragées Braquier sont de délicieuses petites choses colorées et irrésistibles. Le goût et la forme de l'amande sont présents, nappés de douceur sucrée.

Sur le tapis rouge

Aujourd'hui, et jusqu'au 27 mai débute le Festival de Cannes.
Non, je n'ai pas réussi à obtenir une invitation, même si c'est ce qui est promis à une chanceuse par My Little Box dans sa My Little Red carpet box.

C'est la première box à laquelle je me suis abonnée et je dois avouer que j'apprécie son univers, celui de My Little Paris et les dessins frais de Kanako.

La boite siglée arrive dans votre boîte aux lettres.... Poupoupidou!

Chaque mois, une étiquette différente vous met au parfum du contenu...

Au niveau des produits, peu de variantes entre les abonnées et une gamme de prix assez constante. Le plus pour moi, ce sont les goodies et les livrets, les petites surprises selon les thèmes. C'est plus une box plaisir qu'une box uniquement axée beauté.
A noter qu'à partir de mai, les thèmes restent secrets jusqu'à l'arrivée des premières box ^^

Au programme de ce mois de mai, "tout ce qu'il faut pour se prendre pour une actrice"...

Un mascara Volume Million de Cils de l'Oréal Paris (édition spéciale Cannes)

De l'Oréal également (partenaire du festival), une crème éclat jour Code jeunesse lumière . Certaines personnes ont reçu le Code jeunesse.

Une laque Elnett 150 ml, toujours de l'Oréal et un échantillon (dans le livret) de shampoing Elseve nutri-gloss Cristal.

Un Eclat minute embellisseur de lèvres Clarins 5 ml couleur n°1 : j'apprécie beaucoup cette marque donc il a déjà trouvé sa place dans mon sac.
Autres possibilités selon les box : une poudre soleil Clarins ou un gloss prodige Clarins.

Et enfin, 2 échantillons (eau de parfum et eau de toilette, soit 2 * 4 ml) Elie Saab : pas tout à fait mon style mais pas désagréable à porter... Et surtout j'apprécie l'élégance des longs échantillons en verre. Elégants et fragiles puisque nombre d'entre eux sont arrivés cassés (ouf pas les miens). Heureusement vu la activité du service de My Little box (il manquait un produit dans ma box d'avril, je l'ai reçu par la suite), il ne faut pas hésiter à les contacter (formulaire de contact sur le site).


Les goodies :
D'abord une jolie coque pour iPhone (je n'en ai pas mais je trouve l'idée amusante)
Un pochon, depuis 3 mois il a remplacé le papier qui entourait les produits. J'aime le motif de celui-ci, il va vite me servir. 
Un discours de secours si vous avez la Palme (à ressortir pour un repas de famille ou un mariage ?), des citations mythiques et un livret présentant produits et adresses en rapport avec Cannes bien sûr.

Bilan de cette box? Beaucoup diront qu'il faut aimer les produits l'Oréal et qu'il n'y a pas de véritable découvertes... D'un autre côté, ce sont aussi à chaque fois des produits en adéquation avec le thème choisi et utiles au quotidien.

Pour moi, cette box reste avant tout un colis surprise à recevoir chaque mois, et je pense que c'est ce qu'elle essaye de faire avant tout.

mardi 15 mai 2012

Connaissez-vous... Foulque Nerra ?

Foulque le Noir, de son vrai nom Foulque III d’Anjou est de ceux dont la grande Histoire de France ne retient pas le nom mais qui ne peut s’écrire sans eux.
Foulque Nerra hérite de l’Anjou en 987. Cela ne vous dit rien ? 987 ? Mais si ! Ah, ça vous revient, oui, c’est ça, c’est l’année du couronnement de Hugues Capet. Foulque passera sa vie à agrandir et à assoir son apanage, en grignotant les comtés du Maine, de la Touraine, sans oublier quelques terres du Poitou, mouvement engagé par son père et qui sera poursuivi avec succès par son fils.

De fait, il fait édifier des centaines d’édifices militaires dont les remarquables châteaux de Langeais (pas l’actuel) détruit lors de la guerre de Cent Ans et dont il reste les ruines du donjon, celui de Montrichard (pas l’actuel, les ruines que l’on visite aujourd’hui étant postérieures d’une centaine d’années à celui de Foulque).
Langeais - donjon de l'ancien château

Mais notre Comte d’Anjou casse inévitablement quelques œufs et parfois des gros. Ainsi, il met à sac Saumur en 1025 après la défaite de Gelduin, seigneur de Saumur, et vassal des Comtes de Blois, ennemis intimes de la maison Anjou. On le soupçonna également d’avoir commandité l’incendie d’Angers et d’avoir assassiné sa première femme (il est cependant avéré qu’il rompit le mariage et que la malheureuse finit brûlée…). E
n compensation, il fait preuve d’une grande piété – ah, la conscience – fondant plusieurs abbayes dont Beaulieu lès Loches où il sera enterré en 1040 et effectuant trois ( !) voyages en Terre Sainte pour se repentir de ses péchés.
Le mouvement lancé par Foulque le Noir aboutira en une Anjou forte et rayonnante, une dynastie dont seront issus les Plantagenets et un certain Richard Cœur de Lion… Alors n’hésitez pas et découvrez l’Anjou différemment, sur les traces de Foulque Nerra.

JRR

Une si douce terrasse...

Généralement, lorsqu'il est indiqué "avec salade" sur la carte d'un restaurant, vous vous retrouvez au mieux avec quelques feuilles décoratives.

Quel plaisir de voir arriver la (délicieuse) tartine chaude aux rillettes et chèvre accompagnée d'un superbe ensemble de roquette, trèfle, graines germées, ..... prenant la majeure partie de cette copieuse assiette.

Même chose pour la suite choisie, à savoir une assiette de fromages chèvre et vache : 4 beaux morceaux déposés délicatement sur une masse de verdure.
En accompagnement, huiles et assaisonnements, ainsi que du pain frais.
Jardins du château de Villandry

Le restaurant La Doulce Terrasse, situé au pied du château de Villandry (connu pour ses jardins) vous donne l'impression de se servir directement dans ceux-ci tant les légumes sont frais et goûteux. En réalité, le potager ne permettrait pas de tenir plus d'une journée mais un maraicher apporte quotidiennement les commandes. Et cela se sent! Et si vous choisissiez un apéro aux légumes et herbes fraiches par une chaude journée d'été ?
Château de Villandry

Et puisque nous sommes dans la région des vins de Loire, ce sera un Coteaux de l'Aubance, blanc légèrement sucré, qui parfumera ce repas absolument parfait sous ce doux soleil. Les vins et d'autres spécialités de la région sont disponibles à la vente dans le restaurant.

lundi 14 mai 2012

Brasserie Julien

Bruxelles est une ville marquée par l'Art nouveau et de très nombreux guides touristiques y font référence, permettant de retrouver aussi bien les bâtiments que de petits éléments architecturaux au fil des rues...

C'est donc avec un grand plaisir que j'ai découvert les brasseries art nouveau de Paris.

Pour commencer, la Brasserie Julien au 16 Rue du Faubourg Saint-Denis, 75010 Paris. Le personnel est au petits soins et le menu est tout simplement d'un rapport qualité/ prix très agréable. Entre le contenu de l'assiette et le décor, on se régale.
"Franchir la porte de Julien, c'est pénétrer dans un autre monde, un monde féérique. Nous sommes en 1901, l'Exposition Universelle vient de fermer ses portes quelques mois plus tôt, l'Art Nouveau, un art de la nature, s'y est révélé."
Entrée plat dessert apéro et 1/2 bouteille de vin par personne pour 39 euros.

Parmi les plats testés, une fine tarte au chèvre, oignons rouges et magret de canard fondante à souhait en entrée, un coeur de boeuf sauce au poivre et son gratin dauphinois en plat, et une pomme au four cannelle et romarin avec sa glace speculoos pour clôturer... Un exemple parmi d'autres puisque la carte évolue au fil des saisons.

Ce qui ne gâte rien : une carte de fidélité valable dans différentes brasseries et une réduction de 20% sur votre première addition valable sur présentation de la carte et du bon (comptez environ 2 semaines après inscription sur le site).

En bord de Marne....

En bord de Marne, deux familles de cygnes profitent de ce beau soleil...


















dimanche 13 mai 2012

Connaissez-vous... Charles de Chambes ?


Charles est né à Montsoreau en 1549. Il devient un proche du Duc D’Alençon, son chambellan et grand-veneur. Le Duc d’Alençon est le troisième fils d’Henri II et de Catherine de Médicis, frère du roi Henri III.

Charles est donc présent à la Cour et croise probablement régulièrement Bussy d’Amboise, favori du même Duc, qui a déjà une réputation sulfureuse car il est un temps l’amant de celle qui n’est pas encore la Reine Margot.

En 1576, Le Duc d’Alençon reçoit l’Anjou en apanage et nomme Bussy, son mignon, gouverneur du Duché.
A la proximité politique, s’ajoute pour les deux hommes, la proximité géographique. Le roi Henri II règne alors en tenant compte de l’opposition qui se cristallise autour de son frère.
Château de Montsoreau
En 1579, Bussy rend régulièrement visite à la femme de Charles, sa « voisine » et se gargarise de son « succès » dans une lettre, qui arrivera dans les mains du roi, qui lui-même fera en sorte qu’elle arrive dans les mains du mari bafoué.
C’est ainsi que Charles de Chambes lave son honneur en faisant assassiner le sulfureux et arrogant Bussy d’Amboise avec la complicité involontaire de sa femme. Si crime il y a, il semble qu’on ne s’émeut pas de la mort du gouverneur. Charles continua d’ailleurs une brillante carrière au service du roi Henri II d’abord comme conseiller d’Etat puis pour le bon Henri IV, comme maréchal de camps (l’équivalent d’un grade de général de nos jours) et eut l’honneur d’accueillir la régente Marie de Médicis en 1619 à Angers, à la tête de la noblesse angevine.

Si vous préférez, vous pouvez lire la version romancée… d’Alexandre Dumas. Direction la bibliothèque, je voudrais la Dame de Monsoreau s’il vous plait !
JRR

"Cicatrices"

Il y a quelques mois, une visite au Musée de la Grande Guerre à Meaux, ouvert depuis novembre 2011m’avait marquée.
Et surtout donné envie d’en savoir plus sur les hommes et les lieux en France marqués par la guerre 1914-1918…

Un voyage aux alentours de Verdun en ce mois de mai 2012 m’a permis d’y faire face.
Une terre blessée, encore traumatisée près de 100 ans plus tard et couverte de profondes cicatrices : voici le spectacle qui m’a été donné de voir.

Une route passe dans la forêt. En nous rendant au fort de Douaumont, les arbres défilent… Derrière ce rideau, la nature semble curieusement accidentée. En y regardant de plus près, ce sont trous créés par les bombes, bouts de métaux tordus ou arrachés, abris précaires recouverts désormais de mousse ou tranchées que la boue et le temps ne parvient pas à cicatriser.

Un abri comme le TD2 Aldabert par exemple.



 


Ou le boyau de Londres, un peu plus loin.











Arrivés au fort de Douaumont, nous choisissons d’abord d’en faire le tour à pied… Là aussi le spectacle laisse une impression bizarre, la gorge serrée. Trous d’eau habités par une myriade d’insectes prenant vie là où les obus ont tant tués ; ailleurs une croix formée par deux bouts de métal tordus se dresse parmi les fleurs sauvages… Elle semble avoir été posée là en mémoire ou créée par le temps et les explosions ?


A voir : le superbe livre Cicatrices de Stéphane Audouin-Rouzeau....

jeudi 3 mai 2012

Connaissez-vous... Le mariage surprise de Langeais ?


Château de Langeais
Pour comprendre comment  « les Français se sont couchés avec une reine et levés avec une autre », il faut planter le décor. 
En ces années 1490, les rois de France continuent d’étendre le pays. Cela signifie rechercher de riches héritières de comtés ou de duchés, les épouser pour rattacher leur héritage à la France d’alors et prévoir que ces héritages tombent ensuite dans le domaine royal, c’est-à-dire « léguer » aux enfants du couple. Or, à ce moment-là, c’est la Bretagne qui attise les convoitises car –cela tombe bien – l’héritier est une…héritière. Qui plus est, dont le père a promis que le mariage ne se fera sans l’accord de la France. Mais la jeune Anne convole par procuration malgré tout avec Maximilien d’Autriche appelé à devenir Empereur germanique. Les Français sont moyennement contents : non seulement Anne ne respecte pas l’accord de son père mais en plus, Maximilien se retrouve avec la Bretagne mais aussi la Bourgogne car il est veuf de l’héritière du duché du même nom, que Charles devait aussi épouser dans l’esprit de Louis XI, son père. Bref, ça ferait la deuxième que le grand Max lui piquerait. Quand on vous dit que ce ne sont que des histoires de mariage !
Résultat, les Français passent à l’offensive, vainquent la belle Anne et l’oblige à se marier dare dare à Charles VIII, faisant fi de la pauvre fiancée de Charles et du mariage d’Anne, le Pape annulant l’union après coup. Le mariage est célébré au château de Langeais avec une clause bien étrange : au cas où Anne deviendrait veuve, elle ne pourrait se remarier qu'avec le successeur du roi. Ca tombe bien… puisqu’elle épousera Louis XII en seconde noce !

JRR

Caprice du jour...

photo Neuhaus
Aujourd'hui, je voulais un Caprice! Et oui, quand on est belge, il y a des moments où on est en manque de chocolat belge....
Et surtout d'une petite praline absolument irrésistible. Imaginez "une authentique nougatine artisanale fourrée à la main de crème fraîche onctueuse à la vanille de Madagascar, et enrobée de chocolat noir".

photo Corné
Sur le quai de la Gare du Nord, à Paris, juste devant les thalys, on trouve un comptoir présentant 2 de mes chocolatiers belges préférés : Corné Port Royal et Neuhaus. Si vous n'avez pas encore eu l'occasion de les découvrir, je ne peux que vous les conseiller. D'autres magasins sur Paris proposent leurs produits... J'attends d'en trouver un où acheter une autre de mes folies : la pâte à tartiner chocolat noir de "Corné 1932".

Je ne suis pas responsable des cas d'addiction profonde suite à la découverte de ces produits ^^